Onlike, c&#39;est le podcast qui part à la rencontre des personnalités du monde de la Musique pour les écouter s&#39;exprimer sur leur univers, leur processus de création, leurs coups de cœur. 

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Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon
Production : Alexandra Lebrethon et Jean-Patrick Labouyrie

© Onlike.net

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Pour ce nouvel épisode du podcast Onlike je suis extrêmement heureuse d’avoir pu tendre mon micro à deux êtres délicieux, deux âmes remarquables par leur intelligence, leur vivacité d’esprit et leur talent. Arielle Dombasle et Nicolas Ker sont les invités de ce nouvel entretien, sans filtre et quasi sans montage. Je doute que vous ne les connaissiez pas mais si toutefois : Arielle Dombasle est comédienne, réalisatrice, chanteuse et meneuse de revue. Elle s’est illustrée au théâtre, au cinéma, devant et derrière la caméra. Depuis 2016, vous pouvez aussi l’entendre à la radio sur RTL dans l’émission les grosses têtes de Laurent Ruquier. Quant à Nicolas Ker il n’est pas moins que le dernier punk de France, chanteur, compositeur, membre éminent du groupe Poni Hoax, et de deux autres formations par la suite : Aladdin et Paris. Le 19 juin 2020 sera publié le 2e album de ce duo qu’on disait improbable. Un album intitulé « Empire » qui est leur 3e réalisation commune, après un premier album et un film. « Empire » est un album kaléidoscopique comme le dit Nicolas, il est le fruit de leurs inspirations et réflexions communes ou personnelles sur le monde, la matière, la beauté, l’amour et la jalousie, l’environnement aussi. Nous parlons notamment des morceaux « le chant des sirènes (we bleed for the océan) » et du titre « Desdemona », une chanson inspirée de ce personnage féminin de Shakespeare. Des précisions destinées à ne pas vous perdre en chemin. Car cette conversation entre nous 3 mais surtout eux 2 est riche en références culturelles philosophiques et musicales. Les digressions ne manquent jamais de pertinence non plus et elles sont nombreuses. J’ai voulu garder le brut de la bande, la substance de l’échange avec un minimum de montage, et le bruit du micro qui passe de mains en mains avec exaltation. J’ai demandé à ce duo magnétique de me révéler ce qui les a attiré l’un à l’autre, de me parler de leurs inspirations communes, de leurs intuitions et de leur vision de la musique aujourd’hui.

Tous les épisodes du podcast sont disponibles sur onlike.net rubrique podcast et sur toutes les applications de podcast et plateformes de streaming. Les mots doux sont à adresser à alex.lebrethon@hotmail.fr

Extraits de l’album « Empire » diffusés dans l’épisode 67 : ‘Just Come Back Alive’ (02:18), ‘Le chant des sirènes’ (18:50) et ‘Le Grand Hôtel’ (45:48).

Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon
Production : Alexandra Lebrethon et Jean-Patrick Labouyrie

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Pour ce nouvel épisode du podcast Onlike je suis extrêmement heureuse d’avoir pu tendre mon micro à deux êtres délicieux, deux âmes remarquables par leur intelligence, leur vivacité d’esprit et leur talent. Arielle Dombasle et Nicolas Ker sont les invités de ce nouvel entretien, sans filtre et quasi sans montage. Je doute que vous ne les connaissiez pas mais si toutefois : Arielle Dombasle est comédienne, réalisatrice, chanteuse et meneuse de revue. Elle s’est illustrée au théâtre, au cinéma, devant et derrière la caméra. Depuis 2016, vous pouvez aussi l’entendre à la radio sur RTL dans l’émission les grosses têtes de Laurent Ruquier. Quant à Nicolas Ker il n’est pas moins que le dernier punk de France, chanteur, compositeur, membre éminent du groupe Poni Hoax, et de deux autres formations par la suite : Aladdin et Paris. Le 19 juin 2020 sera publié le 2e album de ce duo qu’on disait improbable. Un album intitulé « Empire » qui est leur 3e réalisation commune, après un premier album et un film. « Empire » est un album kaléidoscopique comme le dit Nicolas, il est le fruit de leurs inspirations et réflexions communes ou personnelles sur le monde, la matière, la beauté, l’amour et la jalousie, l’environnement aussi. Nous parlons notamment des morceaux « le chant des sirènes (we bleed for the océan) » et du titre « Desdemona », une chanson inspirée de ce personnage féminin de Shakespeare. Des précisions destinées à ne pas vous perdre en chemin. Car cette conversation entre nous 3 mais surtout eux 2 est riche en références culturelles philosophiques et musicales. Les digressions ne manquent jamais de pertinence non plus et elles sont nombreuses. J’ai voulu garder le brut de la bande, la substance de l’échange avec un minimum de montage, et le bruit du micro qui passe de mains en mains avec exaltation. J’ai demandé à ce duo magnétique de me révéler ce qui les a attiré l’un à l’autre, de me parler de leurs inspirations communes, de leurs intuitions et de leur vision de la musique aujourd’hui.

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Extraits de l’album « Empire » diffusés dans l’épisode 67 : ‘Just Come Back Alive’ (02:18), ‘Le chant des sirènes’ (18:50) et ‘Le Grand Hôtel’ (45:48).

Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon
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Episode 67 - ARIELLE DOMBASLE & NICOLAS KER

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Dans ce nouvel épisode, je suis heureuse de vous offrir un instant avec la Grande Sophie, figure incontournable de la scène française. Cette auteure, compositrice et parolière a à son actif 8 albums, 2 Victoires de la musique, et des centaines de dates de concert. Elle compose pour elle même et pour le cinéma ou la télévision. Elle écrit pour elle même et pour d’autres : Françoise Hardy, Sylvie Vartan, Alex Beaupain. En septembre dernier elle a publié son 8e album « Cet instant ». Un album avec pour fil conducteur le temps, celui qui nous éprouve, qui nous enseigne et qui nous déforme. Dans les 9 titres qui composent cet opus, elle parle de l’amour, des relations, et du corps, à l’épreuve du temps, accompagnée d’un nouvel instrument : le piano. Elle, qui joue de la guitare depuis son plus jeune âge, raconte cette rencontre avec un instrument qui lui avait été refusé, et la façon dont son instinct a pris les rênes de la composition. Ensemble nous parlons donc du temps, de l’instant et de l’instinct. D’amour et de bonheur aussi. 
 
L’interview que vous allez entendre a été enregistrée en mai 2020 en pleine période de confinement liée à l’épidémie mondiale de covid 19. J’ai fait le maximum pour garantir les meilleures conditions audio. Crédit photo Simon Kerola. 
 
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Extraits de son album « Cet instant » diffusés dans l’épisode 66 : ‘Hier’ (01:34), ‘Tu ne me reconnais pas’ (06:40), ‘Nous étions’ (13:45), ‘Huis-clos’ (21:36), ‘Où vont les mots’ (27:32) et ‘Une vie’ (31:06). 
 
Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon 
Production : Alexandra Lebrethon et Jean-Patrick Labouyrie 
 
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Dans ce nouvel épisode, je suis heureuse de vous offrir un instant avec la Grande Sophie, figure incontournable de la scène française. Cette auteure, compositrice et parolière a à son actif 8 albums, 2 Victoires de la musique, et des centaines de dates de concert. Elle compose pour elle même et pour le cinéma ou la télévision. Elle écrit pour elle même et pour d’autres : Françoise Hardy, Sylvie Vartan, Alex Beaupain. En septembre dernier elle a publié son 8e album «&nbsp;Cet instant&nbsp;». Un album avec pour fil conducteur le temps, celui qui nous éprouve, qui nous enseigne et qui nous déforme. Dans les 9 titres qui composent cet opus, elle parle de l’amour, des relations, et du corps, à l’épreuve du temps, accompagnée d’un nouvel instrument : le piano. Elle, qui joue de la guitare depuis son plus jeune âge, raconte cette rencontre avec un instrument qui lui avait été refusé, et la façon dont son instinct a pris les rênes de la composition. Ensemble nous parlons donc du temps, de l’instant et de l’instinct. D’amour et de bonheur aussi. 
 
L’interview que vous allez entendre a été enregistrée en mai 2020 en pleine période de confinement liée à l’épidémie mondiale de covid 19. J’ai fait le maximum pour garantir les meilleures conditions audio. Crédit photo Simon Kerola. 
 
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Extraits de son album «&nbsp;Cet instant&nbsp;» diffusés dans l’épisode 66 : ‘Hier’ (01:34), ‘Tu ne me reconnais pas’ (06:40), ‘Nous étions’ (13:45), ‘Huis-clos’ (21:36), ‘Où vont les mots’ (27:32) et ‘Une vie’ (31:06). 
 
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Episode 66 - LA GRANDE SOPHIE

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L’invité de ce 65e épisode du podcast Onlike est l’auteur et compositeur Gabriel Auguste. Depuis quelques années, il a choisi de se ré-inventer artistiquement en composant et produisant de la musique dans un style bien différent de celui avec lequel il a grandi sur scène avec son groupe de rock psyché Wall of death. Aujourd’hui il raconte la vie, la sienne, celle des autres, la nôtre, avec des chansons de pop électronique en français avec des arrangements que l’on peut qualifier de minimalistes. Il a sorti en mars 2020 un 2e EP « Coups bas » avec 6 titres riches gorgés de sentiments : l’amour quand il est perdu, quand il est retrouvé, quand il est jaloux… d’autres y verront aussi de l’amitié. Bref de l’affection chantée de manière non affectée. Avec Gabriel Auguste on a parlé de cet EP, de minimalisme, de persévérance, parce que vouloir faire de la musique son métier est avant tout une épreuve de persévérance. Il a aussi parlé de l’écriture comme remède à une rupture sentimentale, et répondu à cette question : d’où vient t’il, ou va t’il ? 
 
Contrairement à l’épisode qui précède et à celui qui suivra, l’interview que vous allez entendre a été enregistrée en avril 2020 en pleine période de confinement liée à l’épidémie mondiale de covid 19. J’ai fait le maximum pour garantir les meilleures conditions audio. 
Crédit photo droits réservés. 
 
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Extraits de son EP « Coups bas » diffusés dans l’épisode 65 : ‘Tu danses’ (01:39), ‘Sur ton passage’ (07:10), ‘D’accord je t’aime’ (16:04), ‘Tremble’ (24:13) et ‘Coups bas’ (27:53). 
 
Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon 
Production : Alexandra Lebrethon et Jean-Patrick Labouyrie 
 
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L’invité de ce 65e épisode du podcast Onlike est l’auteur et compositeur Gabriel Auguste. Depuis quelques années, il a choisi de se ré-inventer artistiquement en composant et produisant de la musique dans un style bien différent de celui avec lequel il a grandi sur scène avec son groupe de rock psyché Wall of death. Aujourd’hui il raconte la vie, la sienne, celle des autres, la nôtre, avec des chansons de pop électronique en français avec des arrangements que l’on peut qualifier de minimalistes. Il a sorti en mars 2020 un 2e EP «&nbsp;Coups bas&nbsp;» avec 6 titres riches gorgés de sentiments : l’amour quand il est perdu, quand il est retrouvé, quand il est jaloux… d’autres y verront aussi de l’amitié. Bref de l’affection chantée de manière non affectée. Avec Gabriel Auguste on a parlé de cet EP, de minimalisme, de persévérance, parce que vouloir faire de la musique son métier est avant tout une épreuve de persévérance. Il a aussi parlé de l’écriture comme remède à une rupture sentimentale, et répondu à cette question : d’où vient t’il, ou va t’il ? 
 
Contrairement à l’épisode qui précède et à celui qui suivra, l’interview que vous allez entendre a été enregistrée en avril 2020 en pleine période de confinement liée à l’épidémie mondiale de covid 19. J’ai fait le maximum pour garantir les meilleures conditions audio. 
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Extraits de son EP «&nbsp;Coups bas&nbsp;» diffusés dans l’épisode 65 : ‘Tu danses’ (01:39), ‘Sur ton passage’ (07:10), ‘D’accord je t’aime’ (16:04), ‘Tremble’ (24:13) et ‘Coups bas’ (27:53). 
 
Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon 
Production : Alexandra Lebrethon et Jean-Patrick Labouyrie 
 
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Episode 65 - GABRIEL AUGUSTE

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« Hunger », la faim, c’est le titre du 2e album de l’artiste Refuge qui est sorti en ce mois de mars 2020. 4 ans après un premier opus intitulé « Brokenbird » et dans lequel Florian avait pu montrer déjà toute l’étendue de sa voix. Une voix cristalline et harmonieuse, que l’on retrouve plus que jamais sur ce nouvel album. Il est très difficile de mettre des extraits car c’est un album qui s’étire et qui s’écoute de tout son long, sans rien faire d’autre, en étant porté à la fois par les percussions indiennes, les tablas, et par les synthétiseurs. « Hunger » est un album solennel et intense, qui porte en lui les marques de la suie, de la cendre, et qui porte aussi en lui la profondeur des origines de celui qui en a écrit les paroles et les mélodies. Florian écrit et compose depuis de nombreuses années. A Paris, il s’est constitué un noyau solide d’amis musiciens parmi lesquels Pi Ja Ma et Pomme, deux artistes que j’ai eu le plaisir de recevoir sur ce podcast. Son refuge, sa safe place rêvée, sa voix, son chemin vers la musique avec une étape par la Nouvelle Star, ses origines, autant de sujets dont on parle ensemble lorsqu’on se retrouve dans son appartement, au milieu de ses disques. Crédit photoMargot de Kerangat. 
 
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Extraits musicaux diffusés dans l’épisode 64 : ‘2K16’ (01:50), ‘The world outside’ (06:37), ‘Nawal’ (13:24), ‘Lava’ (21:00) et ‘Lion’s Tear’ (27:14). 
 
Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon 
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«&nbsp;Hunger&nbsp;», la faim, c’est le titre du 2e album de l’artiste Refuge qui est sorti en ce mois de mars 2020. 4 ans après un premier opus intitulé «&nbsp;Brokenbird&nbsp;» et dans lequel Florian avait pu montrer déjà toute l’étendue de sa voix. Une voix cristalline et harmonieuse, que l’on retrouve plus que jamais sur ce nouvel album. Il est très difficile de mettre des extraits car c’est un album qui s’étire et qui s’écoute de tout son long, sans rien faire d’autre, en étant porté à la fois par les percussions indiennes, les tablas, et par les synthétiseurs. «&nbsp;Hunger&nbsp;» est un album solennel et intense, qui porte en lui les marques de la suie, de la cendre, et qui porte aussi en lui la profondeur des origines de celui qui en a écrit les paroles et les mélodies. Florian écrit et compose depuis de nombreuses années. A Paris, il s’est constitué un noyau solide d’amis musiciens parmi lesquels Pi Ja Ma et Pomme, deux artistes que j’ai eu le plaisir de recevoir sur ce podcast. Son refuge, sa safe place rêvée, sa voix, son chemin vers la musique avec une étape par la Nouvelle Star, ses origines, autant de sujets dont on parle ensemble lorsqu’on se retrouve dans son appartement, au milieu de ses disques. Crédit photoMargot de Kerangat. 
 
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Extraits musicaux diffusés dans l’épisode 64 : ‘2K16’ (01:50), ‘The world outside’ (06:37), ‘Nawal’ (13:24), ‘Lava’ (21:00) et ‘Lion’s Tear’ (27:14). 
 
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Episode 64 - REFUGE

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Jamais musique et cinéma ne se seront côtoyés de si près dans un épisode de ce podcast. Cinéma, musique, deux disciplines qu’affectionne Pauline, connue sous son nom d’artiste PR2B. En décembre 2018, alors qu’elle finit ses études en réalisation à l’école de son et image la Fémis, elle fait sensation avec la chanson « Ocean Forever » repérée et publiée par la Souterraine. Ce remarquable coup de projecteur lui permet de faire les bonnes rencontres et de concrétiser son envie de chanter les textes qu’elle écrit. Entre cinéma et musique, entre chanson française et textes rapés, elle ne fait pas de choix. Artistiquement elle prend tout. C’est ainsi qu’elle réalise le clip de son premier single « la chanson du bal ». Ses chansons sont comme les bandes sons de courts métrages, en attendant le long métrage que viendra enrichir un album presque terminé. 
Dans cet entretien, Pauline parle aussi bien de cinéma, que de son attirance pour les lumières de la scène où elle se produit depuis quelques mois. 
Crédit photo Bettina Pittaluga. 
 
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Extraits musicaux diffusés dans l’épisode 63 : ‘Tu ne dis jamais rien’ (01:56), ‘La chanson du bal’ (11:15) et (14:08), ‘Ocean Forever’ (17:36) et (25:37). 
 
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Jamais musique et cinéma ne se seront côtoyés de si près dans un épisode de ce podcast. Cinéma, musique, deux disciplines qu’affectionne Pauline, connue sous son nom d’artiste PR2B. En décembre 2018, alors qu’elle finit ses études en réalisation à l’école de son et image la Fémis, elle fait sensation avec la chanson «&nbsp;Ocean Forever&nbsp;» repérée et publiée par la Souterraine. Ce remarquable coup de projecteur lui permet de faire les bonnes rencontres et de concrétiser son envie de chanter les textes qu’elle écrit. Entre cinéma et musique, entre chanson française et textes rapés, elle ne fait pas de choix. Artistiquement elle prend tout. C’est ainsi qu’elle réalise le clip de son premier single «&nbsp;la chanson du bal&nbsp;». Ses chansons sont comme les bandes sons de courts métrages, en attendant le long métrage que viendra enrichir un album presque terminé. 
Dans cet entretien, Pauline parle aussi bien de cinéma, que de son attirance pour les lumières de la scène où elle se produit depuis quelques mois. 
Crédit photo Bettina Pittaluga. 
 
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Episode 63 - P.R2B

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L’invité de ce nouvel épisode du podcast Onlike est Sébastien Folin. Vous le connaissez certainement aux travers des ses engagements et/ou grâce à ses années passées sur les chaines de télévision nationale : à la présentation de la météo, dans l’émission Video Gag, ou encore en tant qu’animateur de l’émission musicale Acoustic sur TV5 monde, une émission qui vient tout juste de se terminer après 16 ans de bons et loyaux services rendus à la culture et aux artistes. Mais ce que vous ne savez peut être pas encore, c’est que tout a commencé pour Sébastien Folin à la Réunion sur les ondes de la radio Arc en ciel il y a plus de 30 ans. C’est sur cette ile que Sébastien découvre sa passion pour la radio, lui qui est amoureux de musique. Ensemble nous tirons le fil de son histoire pour dérouler au passage 1001 anecdotes de sa vie d’animateur radio « le doc Malibu », de son activité de DJ pendant 10 ans, de son expérience de disquaire chez Disques 2000. En plus d’être passionné par la musique, il reste encore et toujours aujourd’hui un grand admirateur des artistes et de leur travail et ne s’en cache aucunement. Sébastien Folin raconte dans cet entretien sa rencontre mémorable avec Kool and the Gang et son échange de regard furtif avec James Brown. Nous parlons aussi de la diversité aux Victoires de la musique, cérémonie à laquelle il participait en tant qu’animateur en février dernier, et plus généralement de musique à la télévision. Tout cet épisode est entrecoupé de morceaux choisis par Sébastien lui même. Les 1001 histoires de Sébastien Folin, c’est maintenant sur le podcast Onlike. Bonne écoute. Crédit photo droits réservés. 
 
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Extraits musicaux diffusés dans l’épisode 62 (choisis par Sébastien Folin himself) : ‘Think’ par Lyn Collins (01:57), ‘In a Sentimental Mood’ par Duke Ellington et John Coltrane (19:55), ‘Apples’ par The Seasons (29:31), ‘E.V.P’ par Blood Orange (48:47), ‘Superstition’ par Beck, Boggert et Appice. 
 
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L’invité de ce nouvel épisode du podcast Onlike est Sébastien Folin. Vous le connaissez certainement aux travers des ses engagements et/ou grâce à ses années passées sur les chaines de télévision nationale : à la présentation de la météo, dans l’émission Video Gag, ou encore en tant qu’animateur de l’émission musicale Acoustic sur TV5 monde, une émission qui vient tout juste de se terminer après 16 ans de bons et loyaux services rendus à la culture et aux artistes. Mais ce que vous ne savez peut être pas encore, c’est que tout a commencé pour Sébastien Folin à la Réunion sur les ondes de la radio Arc en ciel il y a plus de 30 ans. C’est sur cette ile que Sébastien découvre sa passion pour la radio, lui qui est amoureux de musique. Ensemble nous tirons le fil de son histoire pour dérouler au passage 1001 anecdotes de sa vie d’animateur radio «&nbsp;le doc Malibu&nbsp;», de son activité de DJ pendant 10 ans, de son expérience de disquaire chez Disques 2000. En plus d’être passionné par la musique, il reste encore et toujours aujourd’hui un grand admirateur des artistes et de leur travail et ne s’en cache aucunement. Sébastien Folin raconte dans cet entretien sa rencontre mémorable avec Kool and the Gang et son échange de regard furtif avec James Brown. Nous parlons aussi de la diversité aux Victoires de la musique, cérémonie à laquelle il participait en tant qu’animateur en février dernier, et plus généralement de musique à la télévision. Tout cet épisode est entrecoupé de morceaux choisis par Sébastien lui même. Les 1001 histoires de Sébastien Folin, c’est maintenant sur le podcast Onlike. Bonne écoute. Crédit photo droits réservés. 
 
Tous les épisodes du podcast sont disponibles sur <a href="http://onlike.net/">onlike.net</a> rubrique podcast et sur toutes les applications de podcast et plateformes de streaming. Les mots doux sont à adresser à <a href="mailto:alex.lebrethon@hotmail.fr">alex.lebrethon@hotmail.fr</a> 
 
Extraits musicaux diffusés dans l’épisode 62 (choisis par Sébastien Folin himself) : ‘Think’ par Lyn Collins (01:57), ‘In a Sentimental Mood’ par Duke Ellington et John Coltrane (19:55), ‘Apples’ par The Seasons (29:31), ‘E.V.P’ par Blood Orange (48:47), ‘Superstition’ par Beck, Boggert et Appice. 
 
Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon 
Production : Alexandra Lebrethon et Jean-Patrick Labouyrie 
 
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Episode 62 - SEBASTIEN FOLIN

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Profession : batteuse de jazz, on dit aussi instrumentiste, musicienne, interprète. Dans cet épisode, je suis ravie de tendre mon micro à Anne Paceo, batteuse de métier et de passion. Elle est la 1ère femme batteuse diplômée du conservatoire national de musique en section jazz en France. Anne, qui est à l’affiche du festival Women in Jazz qui a lieu à Paris du 19 au 21 mars, a fait ses armes dans un milieu professionnel qui compte quelques appelé(e)s, encore moins d’élu(e)s et dans le lot très peu de femmes instrumentistes. Mais qu’à cela ne tienne, Anne a fait de sa passion précoce son métier, laissant de côté tout plan B, dédiée tout entière à son instrument de coeur et de tripes : la batterie. La légende familiale raconte que son attirance pour les percussions a commencé dans le ventre de sa mère en Côte d’Ivoire. Anne raconte quant à elle sa passion pour les groupes de musique que l’on voyait à la télé ou dans la série Hélène et les Garçons à l’époque. Jeune, elle n’avait aucune femme batteuse à laquelle s’identifier. Aujourd’hui elle fait partie de celles dont on peut s’inspirer. Dans cet entretien, elle décrit ce rapport physique presque charnel à son instrument. Elle donne sa définition du jazz : une musique libre et métissée avec laquelle on ne peut pas tricher. On parle aussi de spiritualité et d’apprentissage de la musique. Crédit photo Sylvain Gripoix 
 
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Extraits musicaux diffusés dans l’épisode 61 de Anne Paceo : ‘The Shell’ (02:09), ‘Le cri’ (08:31), ‘Tomorrow’ (13:24) et (17:43), ‘Calle Silencio’ (25:07), ‘Myanmar folk song’ (33:15) et ‘Smile’ (36:04). 
 
Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon 
Production : Alexandra Lebrethon et Jean-Patrick Labouyrie 
 
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Profession : batteuse de jazz, on dit aussi instrumentiste, musicienne, interprète. Dans cet épisode, je suis ravie de tendre mon micro à Anne Paceo, batteuse de métier et de passion. Elle est la 1ère femme batteuse diplômée du conservatoire national de musique en section jazz en France. Anne, qui est à l’affiche du festival Women in Jazz qui a lieu à Paris du 19 au 21 mars, a fait ses armes dans un milieu professionnel qui compte quelques appelé(e)s, encore moins d’élu(e)s et dans le lot très peu de femmes instrumentistes. Mais qu’à cela ne tienne, Anne a fait de sa passion précoce son métier, laissant de côté tout plan B, dédiée tout entière à son instrument de coeur et de tripes : la batterie. La légende familiale raconte que son attirance pour les percussions a commencé dans le ventre de sa mère en Côte d’Ivoire. Anne raconte quant à elle sa passion pour les groupes de musique que l’on voyait à la télé ou dans la série Hélène et les Garçons à l’époque. Jeune, elle n’avait aucune femme batteuse à laquelle s’identifier. Aujourd’hui elle fait partie de celles dont on peut s’inspirer. Dans cet entretien, elle décrit ce rapport physique presque charnel à son instrument. Elle donne sa définition du jazz : une musique libre et métissée avec laquelle on ne peut pas tricher. On parle aussi de spiritualité et d’apprentissage de la musique. Crédit photo Sylvain Gripoix 
 
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Extraits musicaux diffusés dans l’épisode 61 de Anne Paceo : ‘The Shell’ (02:09), ‘Le cri’ (08:31), ‘Tomorrow’ (13:24) et (17:43), ‘Calle Silencio’ (25:07), ‘Myanmar folk song’ (33:15) et ‘Smile’ (36:04). 
 
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Episode 61 - ANNE PACEO

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L’invitée de ce nouvel entretien est la musicienne, auteure et compositrice Morgane Imbeaud. Elle a commencé sa riche carrière dans la musique il y a plus de 10 ans en formant avec Mark Daumail le duo Cocoon au succès que l’on connait (et aux chansons aussi d’ailleurs). Puis cette collaboration artistique terminée, elle s’est lancé dans des projets différents : un album de contes musicaux, un album de reprises de chansons de Simon et Garfunkel, s’entourant d’amis musiciens avec qui elle travaille toujours aujourd’hui comme Jean Louis Murat. En ce début 2020 est venu le temps pour elle de publier son premier album solo. Morgane Imbeaud s’affranchit du modèle du « duo », modèle qu’elle a toujours connu, modèle où la beauté s’amplifie souvent à deux, mais finit par peser sur la créativité individuelle. Son premier album solo s’appelle « Amazone ». Elle l’a composé et produit avec Renaud Brustlein de H-Burns qui en a été le réalisateur. Dans cet entretien, Morgane parle de « Gressholmen », cette ile norvégienne où elle s’est retirée pour composer les premières chansons de cet album courageux, altruiste, sensible et doux. La douceur et la gentillesse sont des sujets que nous abordons également avec Morgane, ainsi que le féminisme et ses années Cocoon. Un mélange de sujets qui laisse transparaitre la personnalité généreuse et sensible de Morgane. Crédit photo Goledzinowski. 
 
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Extraits musicaux diffusés dans l’épisode 60 issus de l’album « Amazone » de Morgane Imbeaud : ‘Amazone’ (02:02), ’Gressholmen’ (06:08), ’Au Nord’ (14:40), ’Rien ne dure’ (21:09), ’Let You Down’ (23:58). 
 
Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon 
Production : Alexandra Lebrethon et Jean-Patrick Labouyrie 
 
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L’invitée de ce nouvel entretien est la musicienne, auteure et compositrice Morgane Imbeaud. Elle a commencé sa riche carrière dans la musique il y a plus de 10 ans en formant avec Mark Daumail le duo Cocoon au succès que l’on connait (et aux chansons aussi d’ailleurs). Puis cette collaboration artistique terminée, elle s’est lancé dans des projets différents : un album de contes musicaux, un album de reprises de chansons de Simon et Garfunkel, s’entourant d’amis musiciens avec qui elle travaille toujours aujourd’hui comme Jean Louis Murat. En ce début 2020 est venu le temps pour elle de publier son premier album solo. Morgane Imbeaud s’affranchit du modèle du «&nbsp;duo&nbsp;», modèle qu’elle a toujours connu, modèle où la beauté s’amplifie souvent à deux, mais finit par peser sur la créativité individuelle. Son premier album solo s’appelle «&nbsp;Amazone&nbsp;». Elle l’a composé et produit avec Renaud Brustlein de H-Burns qui en a été le réalisateur. Dans cet entretien, Morgane parle de «&nbsp;Gressholmen&nbsp;», cette ile norvégienne où elle s’est retirée pour composer les premières chansons de cet album courageux, altruiste, sensible et doux. La douceur et la gentillesse sont des sujets que nous abordons également avec Morgane, ainsi que le féminisme et ses années Cocoon. Un mélange de sujets qui laisse transparaitre la personnalité généreuse et sensible de Morgane. Crédit photo Goledzinowski. 
 
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Extraits musicaux diffusés dans l’épisode 60 issus de l’album «&nbsp;Amazone&nbsp;» de Morgane Imbeaud : ‘Amazone’ (02:02), ’Gressholmen’ (06:08), ’Au Nord’ (14:40), ’Rien ne dure’ (21:09), ’Let You Down’ (23:58). 
 
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Episode 60 - MORGANE IMBEAUD

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C’était en 2004. Il a inondé les ondes radio françaises et européennes avec ce qui allait devenir le tube de son époque : la chanson Femme Like U. K.Maro est l’invité de ce nouvel épisode du podcast Onlike. Il est sorti de l’ombre en fin d’année 2019, à l’occasion des 15 ans du titre Femme like U et de l’album la Good life. Des titres emblématiques qui sont aujourd’hui ressortis dans une ré-édition avec en plus des chansons inédites. Si tu es resté bloqué en 2004, peut être que ça t’intéressera de savoir que Cyril Kamar est producteur depuis 20 ans, qu’il a fondé il y a quelques années E.47 agency, un label discographique 100% indépendant qui accompagne une 20aine d’artistes en développement, en plus de l’artiste historique Shy’m dont il a largement fait le succès. Il reprend aujourd’hui la parole dans les médias pour raconter son histoire, de producteur, de manager, d’artiste à succès. Dans cet entretien il explique son parcours depuis le Liban où il est né, son arrivée au Canada, le succès de Femme like U et pourquoi il s’est retiré de la scène médiatique 3 ans après la sortie de son tube. K.Maro livre son analyse de la scène musique actuelle française, et explique son métier de producteur d’artistes en développement, une véritable prise de risques. Mais avant de laisser place à notre conversation, on écoute quelques archives audio. Crédit photo François Goize. 
 
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Extraits musicaux diffusés dans l’épisode 59 : ‘Femme Like U (remix)’ (03:23), ’Femme Like U feat. Coeur de Pirate’ (16:30), ’Histoire de luv. feat. Shy’m’ (34:18), ’Demain c’est loin’ (41:12); Et archives via Youtube, tous droits réservés. 
 
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C’était en 2004. Il a inondé les ondes radio françaises et européennes avec ce qui allait devenir le tube de son époque : la chanson Femme Like U. K.Maro est l’invité de ce nouvel épisode du podcast Onlike. Il est sorti de l’ombre en fin d’année 2019, à l’occasion des 15 ans du titre Femme like U et de l’album la Good life. Des titres emblématiques qui sont aujourd’hui ressortis dans une ré-édition avec en plus des chansons inédites. Si tu es resté bloqué en 2004, peut être que ça t’intéressera de savoir que Cyril Kamar est producteur depuis 20 ans, qu’il a fondé il y a quelques années E.47 agency, un label discographique 100% indépendant qui accompagne une 20aine d’artistes en développement, en plus de l’artiste historique Shy’m dont il a largement fait le succès. Il reprend aujourd’hui la parole dans les médias pour raconter son histoire, de producteur, de manager, d’artiste à succès. Dans cet entretien il explique son parcours depuis le Liban où il est né, son arrivée au Canada, le succès de Femme like U et pourquoi il s’est retiré de la scène médiatique 3 ans après la sortie de son tube. K.Maro livre son analyse de la scène musique actuelle française, et explique son métier de producteur d’artistes en développement, une véritable prise de risques. Mais avant de laisser place à notre conversation, on écoute quelques archives audio. Crédit photo François Goize. 
 
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Extraits musicaux diffusés dans l’épisode 59 : ‘Femme Like U (remix)’ (03:23), ’Femme Like U feat. Coeur de Pirate’ (16:30), ’Histoire de luv. feat. Shy’m’ (34:18), ’Demain c’est loin’ (41:12); Et archives via Youtube, tous droits réservés. 
 
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Episode 59 - K.MARO

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Dans ce nouvel épisode, je vous invite à faire connaissance avec Cédric Streuli, connu sous le nom de Buvette. Cela fait plus de dix ans qu’il fait de la musique sous ce nom d’artiste. Il a sorti plusieurs albums et EP, dont l’EP « Life » en 2019. En ce début d’année 2020, il en sort le 2e chapitre sous la forme d’un album intitulé « 4EVER ». Cet album est une succession d’histoires, qui s’inscrivent dans sa grande histoire à lui. Celle de son parcours de batteur devenu chanteur par la force des choses, puis auteur compositeur de ses propres chansons. Dans cet entretien on revient sur son parcours d’artiste qui l’a mené dans de nombreux pays en tournée. Mais avant ça on parle de ce nouvel album « 4EVER ». Cédric le décrit en ces termes : « 4EVER c’est tout une histoire, une invitation à traverser le miroir ». Cet album, cette odyssée, à écouter de préférence dans son intégralité, a été réalisée et produite en étroite collaboration avec le producteur Apollo Noir, qui avait déjà travaillé avec Buvette sur son EP « Life », le fameux 1er chapitre. Au cours de cette discussion Cédric me parle de son attachement au format album et de son attrait pour la métaphore. Si les réponses aux questions suivantes vous intéressent, vous êtes au bon endroit : Qu’aurait il fait s’il n’avait pas choisi la musique ? Est il complexé par le fait de ne pas avoir suivi de formation musicale académique ? Et de quoi est il le plus fier ? 
Crédit photo Charles Negre. 
 
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Extraits de l’album « 4EVER » de Buvette diffusés dans l’épisode 58 : 
‘Now or Never’ (02:19) 
‘Together’ (05:30) 
‘Jupithing’ (08:30) 
‘True Stories’ (14:04) 
‘Last Dance’ (19:46) 
‘All’ (25:22) 
 
Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon 
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Dans ce nouvel épisode, je vous invite à faire connaissance avec Cédric Streuli, connu sous le nom de Buvette. Cela fait plus de dix ans qu’il fait de la musique sous ce nom d’artiste. Il a sorti plusieurs albums et EP, dont l’EP «&nbsp;Life&nbsp;» en 2019. En ce début d’année 2020, il en sort le 2e chapitre sous la forme d’un album intitulé «&nbsp;4EVER&nbsp;». Cet album est une succession d’histoires, qui s’inscrivent dans sa grande histoire à lui. Celle de son parcours de batteur devenu chanteur par la force des choses, puis auteur compositeur de ses propres chansons. Dans cet entretien on revient sur son parcours d’artiste qui l’a mené dans de nombreux pays en tournée. Mais avant ça on parle de ce nouvel album «&nbsp;4EVER&nbsp;». Cédric le décrit en ces termes : «&nbsp;4EVER c’est tout une histoire, une invitation à traverser le miroir&nbsp;». Cet album, cette odyssée, à écouter de préférence dans son intégralité, a été réalisée et produite en étroite collaboration avec le producteur Apollo Noir, qui avait déjà travaillé avec Buvette sur son EP «&nbsp;Life&nbsp;», le fameux 1er chapitre. Au cours de cette discussion Cédric me parle de son attachement au format album et de son attrait pour la métaphore. Si les réponses aux questions suivantes vous intéressent, vous êtes au bon endroit : Qu’aurait il fait s’il n’avait pas choisi la musique ? Est il complexé par le fait de ne pas avoir suivi de formation musicale académique ? Et de quoi est il le plus fier ? 
Crédit photo Charles Negre. 
 
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Extraits de l’album «&nbsp;4EVER&nbsp;» de Buvette diffusés dans l’épisode 58 : 
‘Now or Never’ (02:19) 
‘Together’ (05:30) 
‘Jupithing’ (08:30) 
‘True Stories’ (14:04) 
‘Last Dance’ (19:46) 
‘All’ (25:22) 
 
Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon 
Production : Alexandra Lebrethon et Jean-Patrick Labouyrie 
 
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Episode 58 - BUVETTE

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Un très bon restaurant vient d’ouvrir ses portes. 4 plats à la carte, qui nous invitent chacun à lâcher prise, à écouter, à regarder, à apprécier, vraiment. Si j’emploie cette métaphore c’est parce que Victor Solf, invité de ce nouvel épisode du podcast se plait à utiliser le champ lexical de la cuisine pour parler de la musique et plus particulièrement de sa musique. Son 1er EP solo « Aftermath »,  traduit en français par les séquelles, est sorti fin janvier 2020. J’ai pu le rencontrer à cette occasion, et le questionner sur les 4 morceaux de cet EP. Des morceaux écrits et composés durant deux années de sa vie marquées notamment par la fin de son groupe précédent HER dont vous avez tous déjà entendu une chanson. Avant HER il y a eu aussi The Popopopops. C’est donc le 1er projet que Victor mène seul tel un frontman. Avec Victor Solf on parle donc de ses chansons, centrées autour d’un instrument : le piano. On parle de ce que ça signifie pour lui de prendre le temps, de préférer l’amour à la haine, de ce qu’il fait dans une journée et de cuisine aussi vous l’aurez compris. Crédit photo Antoine Henault 
 
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Extraits de l’EP « Aftermath » de Victor Solf diffusés dans l’épisode 57 + un extrait de Her : 
‘Five Minutes’ Her (01:28) 
‘Hero’ (02:18) 
‘Stone House’ (10:24) 
‘The Salt Of The Earth’ (16:58) 
‘Traffic Lights’ (22:25) 
 
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Un très bon restaurant vient d’ouvrir ses portes. 4 plats à la carte, qui nous invitent chacun à lâcher prise, à écouter, à regarder, à apprécier, vraiment. Si j’emploie cette métaphore c’est parce que Victor Solf, invité de ce nouvel épisode du podcast se plait à utiliser le champ lexical de la cuisine pour parler de la musique et plus particulièrement de sa musique. Son 1er EP solo «&nbsp;Aftermath&nbsp;»,&nbsp; traduit en français par les séquelles, est sorti fin janvier 2020. J’ai pu le rencontrer à cette occasion, et le questionner sur les 4 morceaux de cet EP. Des morceaux écrits et composés durant deux années de sa vie marquées notamment par la fin de son groupe précédent HER dont vous avez tous déjà entendu une chanson. Avant HER il y a eu aussi The Popopopops. C’est donc le 1er projet que Victor mène seul tel un frontman. Avec Victor Solf on parle donc de ses chansons, centrées autour d’un instrument : le piano. On parle de ce que ça signifie pour lui de prendre le temps, de préférer l’amour à la haine, de ce qu’il fait dans une journée et de cuisine aussi vous l’aurez compris. Crédit photo Antoine Henault 
 
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‘Five Minutes’ Her (01:28) 
‘Hero’ (02:18) 
‘Stone House’ (10:24) 
‘The Salt Of The Earth’ (16:58) 
‘Traffic Lights’ (22:25) 
 
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Episode 57 - VICTOR SOLF

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Rencontre avec Axel et Vincent, deux amis qui forment ensemble depuis plus de 10 ans le duo The Penelopes. Ils ont grandi ensemble en banlieue parisienne; se sont découvert très tôt un goût prononcé pour les musiques alternatives pop rock et punk, loin d’être alors raccords avec la mode du moment dans leur quartier : le rap. D’années en années, ils ont cultivé cet attrait pour la musique et la bidouille. EN parallèle de leurs études, ils se sont produits dans des bars, à Paris, ils sont notamment repérés par la créatrice de mode Agnès B qui les soutient toujours aujourd’hui. Il y a 7 ans ils quittent Paris pour Londres et amplifient leurs collaborations avec les milieux du cinéma et de la mode. Cette expatriation leur permet de se professionnaliser davantage. C’est à Londres qu’ils produisent de nouveaux titres et des remixes dont certains sont officiels comme ceux de Lana Del Rey. Ils se feront aussi repérer grâce à leur remix non officiel de la chanson « Just like heaven » des Cure, un remix qui sera officiellement reconnu par le groupe quelques années plus tard et notamment par Robert Smith son leader charismatique. The Penelopes sortira dans quelques mois un nouvel album fruit de collaborations et duos avec des artistes féminines, à l’image des deux premiers duos déjà disponibles : la chanson « Meet Me by the Gate » avec Isabelle Adjani, et la reprise de Suicide « Dream Baby Dream » avec Asia Argento. Deux femmes qu’il est inutile de présenter. Avec les Penelopes on parle de ce duo inédit avec Isabelle Adjani, de leur technique de travail à la « jtenmerde », de ce qu’ils ont appris sur Lana Del Rey en décortiquant ses morceaux à l’occasion des remixes, de reconstitution de crash d’avions et de football. Crédit photo DR

Tous les épisodes du podcast sont disponibles sur onlike.net rubrique podcast et sur toutes les applications de podcast et plateformes de streaming. Les mots doux sont à adresser à alex.lebrethon@hotmail.fr

Extraits de titres de The Penelopes diffusés dans l’épisode 56 :
‘Meet Me by the Gates’ (02:24) et (10:42)
‘Just like heaven’ The Penelopes remix de The Cure (17:54)
‘Never Let Me Down’ Depeche Mode cover (22:48)
‘Dream Baby Dream’ (29:16)

Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon
Production : Alexandra Lebrethon et Jean-Patrick Labouyrie

©onlike.net
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Rencontre avec Axel et Vincent, deux amis qui forment ensemble depuis plus de 10 ans le duo The Penelopes. Ils ont grandi ensemble en banlieue parisienne; se sont découvert très tôt un goût prononcé pour les musiques alternatives pop rock et punk, loin d’être alors raccords avec la mode du moment dans leur quartier : le rap. D’années en années, ils ont cultivé cet attrait pour la musique et la bidouille. EN parallèle de leurs études, ils se sont produits dans des bars, à Paris, ils sont notamment repérés par la créatrice de mode Agnès B qui les soutient toujours aujourd’hui. Il y a 7 ans ils quittent Paris pour Londres et amplifient leurs collaborations avec les milieux du cinéma et de la mode. Cette expatriation leur permet de se professionnaliser davantage. C’est à Londres qu’ils produisent de nouveaux titres et des remixes dont certains sont officiels comme ceux de Lana Del Rey. Ils se feront aussi repérer grâce à leur remix non officiel de la chanson « Just like heaven » des Cure, un remix qui sera officiellement reconnu par le groupe quelques années plus tard et notamment par Robert Smith son leader charismatique. The Penelopes sortira dans quelques mois un nouvel album fruit de collaborations et duos avec des artistes féminines, à l’image des deux premiers duos déjà disponibles : la chanson « Meet Me by the Gate » avec Isabelle Adjani, et la reprise de Suicide « Dream Baby Dream » avec Asia Argento. Deux femmes qu’il est inutile de présenter. Avec les Penelopes on parle de ce duo inédit avec Isabelle Adjani, de leur technique de travail à la « jtenmerde », de ce qu’ils ont appris sur Lana Del Rey en décortiquant ses morceaux à l’occasion des remixes, de reconstitution de crash d’avions et de football. Crédit photo DR

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Extraits de titres de The Penelopes diffusés dans l’épisode 56 :
‘Meet Me by the Gates’ (02:24) et (10:42)
‘Just like heaven’ The Penelopes remix de The Cure (17:54)
‘Never Let Me Down’ Depeche Mode cover (22:48)
‘Dream Baby Dream’ (29:16)

Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon
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Episode 56 - THE PENELOPES

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Bienvenue dans cette 55e conversation avec un artiste, cette semaine c&#39;est Tim Dup qui me parle de son tout nouvel album qui vient de paraitre le 11 janvier 2020. « Qu&#39;en restera t’il » c&#39;est le titre de cet album, digne successeur d&#39;un premier paru en 2017 « Mélancolie heureuse ». Celui qui se décrit comme un optimiste désabusé ou un pessimiste épicurien livre un album qui est une somme de questionnement sur le monde, celui qui est, celui qu&#39;on laissera. Ce monde dans lequel il a choisi de profiter de chaque instant. L&#39;écriture et la musique sont ses refuges, comme sa famille et ses amis. Timothée parle de son adolescence, de son rapport poétique à la musique, de ce qu&#39;il ferait si la fin du monde était demain; et de Barbara qui a inconsciemment et sciemment inspiré cet album qui s&#39;énonce et se chante comme une déclaration. En préambule de notre échange, je voudrais lire quelques phrases écrites par Timothée dans sa chanson « Le visage de la nuit ». Crédit photo Hugo Pillard.

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Extraits de l’album « Qu’en restera t’il » de Tim Dup diffusés dans l’épisode 55 :
‘Le visage de la nuit’ (01:53)
‘Place Espoir’ (05:25) et (07:25)
‘Une autre histoire d’amour’ (09:51) et (19:21)
‘Après eux’ (16:48)
‘Refuge’ (26:52)
‘Du bout des lèvres’ Barbara (30:05)

Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon
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Bienvenue dans cette 55e conversation avec un artiste, cette semaine c'est Tim Dup qui me parle de son tout nouvel album qui vient de paraitre le 11 janvier 2020. « Qu'en restera t’il » c'est le titre de cet album, digne successeur d'un premier paru en 2017 « Mélancolie heureuse ». Celui qui se décrit comme un optimiste désabusé ou un pessimiste épicurien livre un album qui est une somme de questionnement sur le monde, celui qui est, celui qu'on laissera. Ce monde dans lequel il a choisi de profiter de chaque instant. L'écriture et la musique sont ses refuges, comme sa famille et ses amis. Timothée parle de son adolescence, de son rapport poétique à la musique, de ce qu'il ferait si la fin du monde était demain; et de Barbara qui a inconsciemment et sciemment inspiré cet album qui s'énonce et se chante comme une déclaration. En préambule de notre échange, je voudrais lire quelques phrases écrites par Timothée dans sa chanson « Le visage de la nuit ». Crédit photo Hugo Pillard.

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Extraits de l’album « Qu’en restera t’il » de Tim Dup diffusés dans l’épisode 55 :
‘Le visage de la nuit’ (01:53)
‘Place Espoir’ (05:25) et (07:25)
‘Une autre histoire d’amour’ (09:51) et (19:21)
‘Après eux’ (16:48)
‘Refuge’ (26:52)
‘Du bout des lèvres’ Barbara (30:05)

Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon
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Episode 55 - TIM DUP

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Il y a quelques semaines, je suis allée à la rencontre d’un artiste dont le nom est à la ville comme à la scène Lukas Ionesco. Un nom qui vous dit peut être quelque chose. Lukas est ce qu’on qualifie souvent péjorativement de « fils de », un enfant né dans une famille d’artiste, devenu artiste à son tour. Alors qu’il est comédien pour des courts et longs métrages, il publie ses premières chansons folk en 2018, puis un EP en 2019 « Paris Texas ». Accompagné de ses musiciens ou en solo, il joue ses compo sur scène en son nom. Alors qu’il travaillait sur son premier album, dont la sortie est prévue pour mars 2020, il rencontre la photographe et artiste Clara Benador. Coup de foudre artistique et amoureux. Clara rejoint alors le groupe Lukas Ionesco, ils commencent à se produire ensemble sur scène. Dans cet épisode je rencontre Lukas et Clara dans leur appartement parisien, dans lequel se trouve aussi le studio photo de Clara. Ensemble on parle de musique folk, de l’obsession de Lukas pour la guitare folk, de ce premier album à venir et de sa cover réalisée par Clara. On parle aussi d’héritage familial, tout en esquissant une définition personnelle de l’art. 
Crédit photo Clara Benador. 
 
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Extraits de l’EP « Paris Texas » de Lukas Ionesco et de la chanson « Japanese Cowboy » de son 1er album à paraître en mars 2020, diffusés dans l’épisode 54 : 
‘Negative Spirit’ (01:58) 
‘Sold My Life’ (06:25) 
‘Live On’ (11:23) 
‘Japanese Cowboy’ (17:29) 
‘Burning Inside’ (20:33) 
 
Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon (<a href="mailto:alex.lebrethon@hotmail.fr" rel="nofollow">alex.lebrethon@hotmail.fr</a>) 
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Il y a quelques semaines, je suis allée à la rencontre d’un artiste dont le nom est à la ville comme à la scène Lukas Ionesco. Un nom qui vous dit peut être quelque chose. Lukas est ce qu’on qualifie souvent péjorativement de «&nbsp;fils de&nbsp;», un enfant né dans une famille d’artiste, devenu artiste à son tour. Alors qu’il est comédien pour des courts et longs métrages, il publie ses premières chansons folk en 2018, puis un EP en 2019 «&nbsp;Paris Texas&nbsp;». Accompagné de ses musiciens ou en solo, il joue ses compo sur scène en son nom. Alors qu’il travaillait sur son premier album, dont la sortie est prévue pour mars 2020, il rencontre la photographe et artiste Clara Benador. Coup de foudre artistique et amoureux. Clara rejoint alors le groupe Lukas Ionesco, ils commencent à se produire ensemble sur scène. Dans cet épisode je rencontre Lukas et Clara dans leur appartement parisien, dans lequel se trouve aussi le studio photo de Clara. Ensemble on parle de musique folk, de l’obsession de Lukas pour la guitare folk, de ce premier album à venir et de sa cover réalisée par Clara. On parle aussi d’héritage familial, tout en esquissant une définition personnelle de l’art. 
Crédit photo Clara Benador. 
 
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Extraits de l’EP «&nbsp;Paris Texas&nbsp;» de Lukas Ionesco et de la chanson «&nbsp;Japanese Cowboy&nbsp;» de son 1er album à paraître en mars 2020, diffusés dans l’épisode 54 : 
‘Negative Spirit’ (01:58) 
‘Sold My Life’ (06:25) 
‘Live On’ (11:23) 
‘Japanese Cowboy’ (17:29) 
‘Burning Inside’ (20:33) 
 
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Episode 54 - LUKAS IONESCO

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Avec Flavia Coelho, invitée de ce 53e épisode, on se tourne directement vers le Brésil, pays natal de cette auteure chanteuse compositrice. Faisons un pas de côté et tendons notre oreille vers des sonorités métissées. Sa musique est un mélange de Baile Funk, de Cumbia, de musiques caribéennes, de reggae et raggamuffin et d’électro pop. Son pays c’est le monde, qu’elle parcourt de long en large depuis la sortie de son tout 1er album en France en 2011 « Bossa Muffin ». Elle commence à chanter au Brésil quand elle a 14 ans. En 2006, elle décide de s’installer en France quittant alors un pays plein de contrastes : une richesse culturelle et humaine dans un décor d’insécurité et de corruption. En France elle chante dans le métro et vit à dure de petits boulots sans argent, sans papiers, mais animée par l’envie de réussir. On fait un bon dans le temps. Octobre 2019, Flavia Coelho sort son 4e album « DNA » ADN, son album le plus engagé, le plus marqué par l’actualité dramatique de son pays le Brésil. La musique engagée sert elle encore à quelque chose ? On en parle avec Flavia Coelho. Bonne écoute de cet épisode plein de générosité et de positivité qui fait chaud au coeur et à l’esprit! Crédit photo Youri Lenquette.

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Extraits de l’album « DNA » de Flavia Coelho diffusés dans l’épisode 53 :
‘DNA’ (02:11)
‘De Novo De Novo’ (07:29)
‘No Baile’ (11:17)
‘Billy Django’ (19:19)
‘Cidade Perdida’ (24:18)

Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon (alex.lebrethon@hotmail.fr)
Production : Alexandra Lebrethon et Jean-Patrick Labouyrie

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Avec Flavia Coelho, invitée de ce 53e épisode, on se tourne directement vers le Brésil, pays natal de cette auteure chanteuse compositrice. Faisons un pas de côté et tendons notre oreille vers des sonorités métissées. Sa musique est un mélange de Baile Funk, de Cumbia, de musiques caribéennes, de reggae et raggamuffin et d’électro pop. Son pays c’est le monde, qu’elle parcourt de long en large depuis la sortie de son tout 1er album en France en 2011 « Bossa Muffin ». Elle commence à chanter au Brésil quand elle a 14 ans. En 2006, elle décide de s’installer en France quittant alors un pays plein de contrastes : une richesse culturelle et humaine dans un décor d’insécurité et de corruption. En France elle chante dans le métro et vit à dure de petits boulots sans argent, sans papiers, mais animée par l’envie de réussir. On fait un bon dans le temps. Octobre 2019, Flavia Coelho sort son 4e album « DNA » ADN, son album le plus engagé, le plus marqué par l’actualité dramatique de son pays le Brésil. La musique engagée sert elle encore à quelque chose ? On en parle avec Flavia Coelho. Bonne écoute de cet épisode plein de générosité et de positivité qui fait chaud au coeur et à l’esprit! Crédit photo Youri Lenquette.

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Extraits de l’album « DNA » de Flavia Coelho diffusés dans l’épisode 53 :
‘DNA’ (02:11)
‘De Novo De Novo’ (07:29)
‘No Baile’ (11:17)
‘Billy Django’ (19:19)
‘Cidade Perdida’ (24:18)

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Episode 53 - FLAVIA COELHO

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C’est une première sur le podcast Onlike. Pour ce 52e épisode je tends mon micro à un groupe qui nous vient tout droit de l’Est : Trupa Trupa est - pour résumer - un groupe de post rock polonais originaire de la ville portuaire de Gdańsk dans le nord du pays. Rafał, Wojciech, Grzegorz et Tomek, qui forment le groupe Trupa Trupa, étaient de passage à Paris en septembre dernier, quelques jours après avoir sorti leur 5e album. Je les ai rencontrés au Point Ephémère juste avant le 2e concert d’une tournée qui les a menés aux Etats-Unis, en France et un peu partout en Europe. Cela fait plus de 10 ans qu’ils font de la musique ensemble et on a leur actif 5 albums, en grande partie réalisés et produits selon la méthode très concluante du Do It Yourself. Ils sont acclamés par les critiques dans le monde, notamment aux Etats-Unis par des revues renommées. Ils me parlent de ce nouvel album appelé « Of the Sun », de leur rapport à leur public, autant en Pologne leur pays natal, qu’aux Etats-Unis et en France, de leurs inspirations, et de leur façon de travailler ensemble. Trupa Trupa ce sont 4 musiciens humbles, honnêtes et enthousiastes à la création. Cet épisode a été enregistré en polonais et fait l’objet d’un doublage en version française. Merci à François P. qui a doublé les voix masculines. Crédit photo Rafal Wojczal. 
 
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Extraits de l’album « Of The Sun » de Trupa Trupa diffusés dans l’épisode 52 : 
‘Long time ago’ (01:43) 
‘Dream About’ (06:40) 
‘Longing’ (12:00) 
‘Anyhow’ (17:34) 
‘Angle’ (21:55) 
 
Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon 
Production : Alexandra Lebrethon et Jean-Patrick Labouyrie 
Doublage : François Piccione
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C’est une première sur le podcast Onlike. Pour ce 52e épisode je tends mon micro à un groupe qui nous vient tout droit de l’Est : Trupa Trupa est - pour résumer - un groupe de post rock polonais originaire de la ville portuaire de Gdańsk dans le nord du pays. Rafał, Wojciech, Grzegorz et Tomek, qui forment le groupe Trupa Trupa, étaient de passage à Paris en septembre dernier, quelques jours après avoir sorti leur 5e album. Je les ai rencontrés au Point Ephémère juste avant le 2e concert d’une tournée qui les a menés aux Etats-Unis, en France et un peu partout en Europe. Cela fait plus de 10 ans qu’ils font de la musique ensemble et on a leur actif 5 albums, en grande partie réalisés et produits selon la méthode très concluante du Do It Yourself. Ils sont acclamés par les critiques dans le monde, notamment aux Etats-Unis par des revues renommées. Ils me parlent de ce nouvel album appelé «&nbsp;Of the Sun&nbsp;», de leur rapport à leur public, autant en Pologne leur pays natal, qu’aux Etats-Unis et en France, de leurs inspirations, et de leur façon de travailler ensemble. Trupa Trupa ce sont 4 musiciens humbles, honnêtes et enthousiastes à la création. Cet épisode a été enregistré en polonais et fait l’objet d’un doublage en version française. Merci à François P. qui a doublé les voix masculines. Crédit photo Rafal Wojczal. 
 
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‘Long time ago’ (01:43) 
‘Dream About’ (06:40) 
‘Longing’ (12:00) 
‘Anyhow’ (17:34) 
‘Angle’ (21:55) 
 
Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon 
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Episode 52 - TRUPA TRUPA (VF)

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To jest pierwszy podcast Onlike z zagranicznym zespołem. W tym 52 odcinku przekazuję mikrofon zespole który pochodzi prosto ze wschodu: Trupa Trupa, polski zespół post rokowy z Gdańska. Rafał, Wojciech, Grzegorz i Tomek, którzy tworzą grupę Trupa Trupa, byli we wrześniu tego roku w Paryżu, kilka dni po wydaniu piątej płyty. Spotkałam ich w sali koncertowej Point Ephémère tuż przed drugim koncertem trasy, która zabrała ich do Stanów Zjednoczonych, Francji i niemal wszędzie w Europie. Wspólnie tworzą muzykę od ponad 10 lat, i mają na swoim koncie 5 albumów, z których większość zostały wyprodukowane przy użyciu bardzo udanej metody Do It Yourself. Są uznani przez krytyków na całym świecie, w Stanach Zjednoczonych w szczególności przez renomowane czasopisma. Razem z nimi rozmawiamy o tym nowym albumie nazwanym „Of the Sun”, o ich relacjach z publicznością w Polsce, w rodzinnym kraju, jak i w Stanach Zjednoczonych i we Francji. Pytam ich o inspiracje, sposób współpracy we czworo. Tak jak sami mowią, ich muzyka jest rokowa, nawet post rokowa, troche psychodeliczna, ale nie polityczna. Trupa Trupa to są faceci skromni, poukładani i uczciwi. I na tym to polega. Skromnośc ze wzgledu na recencje, na koncertowanie, i ze wzgledu na partnerów. Entouziazm do muzyki dalej istnieje, i jak najbardziej. Przez pól godziny badzie z nami, ja i zespól Trupa Trupa. Zdjecie Rafal Wojczal. 
 
Wszystkie odcinki podcastu są dostępne na stronie <a href="onlike.net" rel="nofollow">onlike.net</a> w sekcji podcastów oraz we wszystkich aplikacjach i platformach streaming (spotify, deezer). Słodkie słowa należy wysłać na adres <a href="mailto:alex.lebrethon@hotmail.fr" rel="nofollow">alex.lebrethon@hotmail.fr</a> 
 
Utwory płyty « Of The Sun » Trupy Trupy w tym 52 odcinku : 
‘Long time ago’ (01:46) 
‘Dream About’ (07:23) 
‘Longing’ (14:52) 
‘Anyhow’ (23:11) 
‘Angle’ (29:11) 
 
Nagrywanie i montaż: Alexandra Lebrethon 
Produkcja: Alexandra Lebrethon i Jean-Patrick Labouyrie 
Dubbing : François Piccione
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To jest pierwszy podcast Onlike z zagranicznym zespołem. W tym 52 odcinku przekazuję mikrofon zespole który pochodzi prosto ze wschodu: Trupa Trupa, polski zespół post rokowy z Gdańska. Rafał, Wojciech, Grzegorz i Tomek, którzy tworzą grupę Trupa Trupa, byli we wrześniu tego roku w Paryżu, kilka dni po wydaniu piątej płyty. Spotkałam ich w sali koncertowej Point Ephémère tuż przed drugim koncertem trasy, która zabrała ich do Stanów Zjednoczonych, Francji i niemal wszędzie w Europie. Wspólnie tworzą muzykę od ponad 10 lat, i mają na swoim koncie 5 albumów, z których większość zostały wyprodukowane przy użyciu bardzo udanej metody Do It Yourself. Są uznani przez krytyków na całym świecie, w Stanach Zjednoczonych w szczególności przez renomowane czasopisma. Razem z nimi rozmawiamy o tym nowym albumie nazwanym „Of the Sun”, o ich relacjach z publicznością w Polsce, w rodzinnym kraju, jak i w Stanach Zjednoczonych i we Francji. Pytam ich o inspiracje, sposób współpracy we czworo. Tak jak sami mowią, ich muzyka jest rokowa, nawet post rokowa, troche psychodeliczna, ale nie polityczna. Trupa Trupa to są faceci skromni, poukładani i uczciwi. I na tym to polega. Skromnośc ze wzgledu na recencje, na koncertowanie, i ze wzgledu na partnerów. Entouziazm do muzyki dalej istnieje, i jak najbardziej. Przez pól godziny badzie z nami, ja i zespól Trupa Trupa. Zdjecie Rafal Wojczal. 
 
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Utwory płyty «&nbsp;Of The Sun&nbsp;» Trupy Trupy w tym 52 odcinku : 
‘Long time ago’ (01:46) 
‘Dream About’ (07:23) 
‘Longing’ (14:52) 
‘Anyhow’ (23:11) 
‘Angle’ (29:11) 
 
Nagrywanie i montaż: Alexandra Lebrethon 
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Episode 52 - TRUPA TRUPA (VO) 🇵🇱

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Pour ce 3e épisode en duo (go check les 2 précédents!) je réunis le groupe La Vague et Dodi El Sherbini. La Vague, que vous entendrez en premier, est un duo féminin masculin formé par Thérèse et Jonathan, deux personnalités complémentaires qui ont su construire ensemble un projet mêlant sans complexe les styles musicaux, mixant tradition et modernité, à leurs influences et leur héritage. En novembre 2019 ils ont sorti leur 2e EP “Lemme Be“ sur lequel on peut entendre des textes aussi bien en chinois qu&#39;en français, et des instruments traditionnels chinois mélangés aux synthés. C&#39;est exactement le style La Vague, celui dont parlent Thérèse et Jonathan. Thérèse parle aussi de l&#39;acceptation de soi et comment elle assume davantage ses origines asiatiques. Il faut écouter ce nouvel EP pour prolonger cet instant furtif qu’est cette discussion avec ce duo complice. A la suite vous pourrez entendre des extraits de ma conversation avec Dodi El Sherbini, nom de scène qu&#39;a choisi cet auteur compositeur et chanteur qui s&#39;est fait repérer en 2015 avec son premier EP et cette chanson : l&#39;Eternel Retour; une conversation piquante, pinçante, sans langue de bois, avec un artiste qui a fait de sa passion pour la musique un hobby qui lui réussit plutôt bien. On parle d’imitation, de la précarité des artistes, de ce qui l’impressionne et ce qui le touche, évidemment aussi de son 1er album « Fictions » sorti en octobre 2019. Malgré tout le mystère Dodi demeure. Crédit photo Kévin Jordan et Romin Favre. 
 
Tous les épisodes du podcast sont disponibles sur <a href="http://onlike.net/" rel="nofollow">onlike.net</a> rubrique podcast et sur toutes les applications de podcast et plateformes de streaming.   
 
Extraits diffusés dans l’épisode 51 : 
‘Lemme Be’ La Vague (02:01) 
‘Tumble’ La Vague (06:47) 
‘Dernière saison’ La Vague (15:00) et (19:34) 
‘Accident’ Dodi El Sherbini (20:05) 
‘L’Eternel Retour’ Dodi El Sherbini (31:04) 
‘Mascarade’ Dodi El Sherbini (37:21) 
 
Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon (<a href="mailto:alex.lebrethon@hotmail.fr" rel="nofollow">alex.lebrethon@hotmail.fr</a>) 
Production : Alexandra Lebrethon et Jean-Patrick Labouyrie
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Pour ce 3e épisode en duo (go check les 2 précédents!) je réunis le groupe La Vague et Dodi El Sherbini. La Vague, que vous entendrez en premier, est un duo féminin masculin formé par Thérèse et Jonathan, deux personnalités complémentaires qui ont su construire ensemble un projet mêlant sans complexe les styles musicaux, mixant tradition et modernité, à leurs influences et leur héritage. En novembre 2019 ils ont sorti leur 2e EP “Lemme Be“ sur lequel on peut entendre des textes aussi bien en chinois qu'en français, et des instruments traditionnels chinois mélangés aux synthés. C'est exactement le style La Vague, celui dont parlent Thérèse et Jonathan. Thérèse parle aussi de l'acceptation de soi et comment elle assume davantage ses origines asiatiques. Il faut écouter ce nouvel EP pour prolonger cet instant furtif qu’est cette discussion avec ce duo complice. A la suite vous pourrez entendre des extraits de ma conversation avec Dodi El Sherbini, nom de scène qu'a choisi cet auteur compositeur et chanteur qui s'est fait repérer en 2015 avec son premier EP et cette chanson : l'Eternel Retour; une conversation piquante, pinçante, sans langue de bois, avec un artiste qui a fait de sa passion pour la musique un hobby qui lui réussit plutôt bien. On parle d’imitation, de la précarité des artistes, de ce qui l’impressionne et ce qui le touche, évidemment aussi de son 1er album «&nbsp;Fictions&nbsp;» sorti en octobre 2019. Malgré tout le mystère Dodi demeure. Crédit photo Kévin Jordan et Romin Favre. 
 
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Extraits diffusés dans l’épisode 51 : 
‘Lemme Be’ La Vague (02:01) 
‘Tumble’ La Vague (06:47) 
‘Dernière saison’ La Vague (15:00) et (19:34) 
‘Accident’ Dodi El Sherbini (20:05) 
‘L’Eternel Retour’ Dodi El Sherbini (31:04) 
‘Mascarade’ Dodi El Sherbini (37:21) 
 
Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon (<a href="mailto:alex.lebrethon@hotmail.fr">alex.lebrethon@hotmail.fr</a>) 
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Duo 3 - LA VAGUE & DODI EL SHERBINI

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Il connaît mieux que personne les 88 touches du piano. Sofiane Pamart est l’invité de ce 50e épisode du podcast Onlike. Il est le bien nommé Piano King, le pianiste attitré du rap français, le collaborateur préféré de bon nombre d’entre eux : que ce soit le rappeur belge Scylla, avec qui il a sorti deux albums, ou bien Isha, Lonepsi, la rappeuse Chilla ou encore Claire Laffut. Il a fait entrer en force le piano dans le rap game français. Grâce à ses doigts prodigieux, lui avec sa dégaine de rappeur, il a réuni le meilleur des deux mondes faisant se rencontrer le classique et les musiques urbaines. Le 22 novembre 2019 est sorti son premier album solo « Planet », un disque qui comprend 12 compositions originales instrumentales. Un album qui nous fait voyager à travers le monde et les émotions. Sofiane est aussi entrepreneur, il a créé plusieurs entreprises : sa boite de production et plus récemment YouPiano une Start-up qui pourrait révolutionner la façon d’apprendre à jouer du piano grâce à une technologie connectée. Mais Sofiane en parle bien mieux que moi. Il travaille dur pour devenir le meilleur pianiste du monde. Avec Sofiane on parle de piano of course, de rap game, d’extravagance, de notoriété, et de ce qu’il fait dans une journée. Beaucoup de tempérament, de détermination et d’ambition dans cet épisode. Sofiane Pamart c’est tout de suite sur Onlike. Crédit photo Renaud Héritier. 
 
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Extraits diffusés dans l’épisode 50 : 
‘Le monde est à mes pieds’ Scylla, Sofiane Pamart (01:55) 
‘Medellin’ Sofiane Pamart (07:44) 
‘Paris’ Sofiane Pamart (14:32) 
‘Une clope sur la lune’ Scylla, Sofiane Pamart (20:25) 
‘La Havane’ Sofiane Pamart (25:22) 
‘Animal nocturne’ Scylla, Sofiane Pamart, Lonepsi (31:20) 
 
Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon (<a href="mailto:alex.lebrethon@hotmail.fr" rel="nofollow">alex.lebrethon@hotmail.fr</a>) 
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Il connaît mieux que personne les 88 touches du piano. Sofiane Pamart est l’invité de ce 50e épisode du podcast Onlike. Il est le bien nommé Piano King, le pianiste attitré du rap français, le collaborateur préféré de bon nombre d’entre eux : que ce soit le rappeur belge Scylla, avec qui il a sorti deux albums, ou bien Isha, Lonepsi, la rappeuse Chilla ou encore Claire Laffut. Il a fait entrer en force le piano dans le rap game français. Grâce à ses doigts prodigieux, lui avec sa dégaine de rappeur, il a réuni le meilleur des deux mondes faisant se rencontrer le classique et les musiques urbaines. Le 22 novembre 2019 est sorti son premier album solo «&nbsp;Planet&nbsp;», un disque qui comprend 12 compositions originales instrumentales. Un album qui nous fait voyager à travers le monde et les émotions. Sofiane est aussi entrepreneur, il a créé plusieurs entreprises : sa boite de production et plus récemment YouPiano une Start-up qui pourrait révolutionner la façon d’apprendre à jouer du piano grâce à une technologie connectée. Mais Sofiane en parle bien mieux que moi. Il travaille dur pour devenir le meilleur pianiste du monde. Avec Sofiane on parle de piano of course, de rap game, d’extravagance, de notoriété, et de ce qu’il fait dans une journée. Beaucoup de tempérament, de détermination et d’ambition dans cet épisode. Sofiane Pamart c’est tout de suite sur Onlike. Crédit photo Renaud Héritier. 
 
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Extraits diffusés dans l’épisode 50 : 
‘Le monde est à mes pieds’ Scylla, Sofiane Pamart (01:55) 
‘Medellin’ Sofiane Pamart (07:44) 
‘Paris’ Sofiane Pamart (14:32) 
‘Une clope sur la lune’ Scylla, Sofiane Pamart (20:25) 
‘La Havane’ Sofiane Pamart (25:22) 
‘Animal nocturne’ Scylla, Sofiane Pamart, Lonepsi (31:20) 
 
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Episode 50 - SOFIANE PAMART

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J’entre chez Skyrock par la grande porte, studio Planète rap passage obligé, quelques couloirs, quelques disques d’or. C’est l’animateur Mrik qui me fait visiter et c’est lui aussi que je cuisine dans cet épisode, le 49e. Mrik est animateur sur skyrock sur la tranche 16h/20h depuis 2013, une tranche horaire écoutée par plus d’un million de personnes en audiences cumulées. Sa passion pour la radio il l’a découverte très très jeune. A 8 ans au culot, il commence à faire des chroniques à l’antenne de CRTV au Cameroun, pays dans lequel il a vécu quelques unes de ses très jeunes années. On ne l’a plus jamais arrêté ensuite. De radios associatives à web radios puis à l’antenne nationale, bourreau de travail, il a brillé si fort que skyrock n’a pas pu passer à côté. Il a interviewé les plus grands artistes : Kendrick Lamar, WilliAm, Eminem, Macklemore, Jorja Smith, et des stars françaises du rap aussi. Aujourd’hui il cumule non seulement les audiences mais aussi les activités : il a aussi sa propre chaîne youtube et son programme One Shot dans lequel il interviewe des artistes. Il a aussi un podcast « Vertical Urban » et une vie très active. Mrik me livre ses tips pour se faire connaître, pour interviewer des stars. Il raconte comment la radio lui a permis de remédier à sa grande timidité, et parle de son envie d’être aujourd’hui dans la position du passeur en faisant profiter les autres de son expérience. Tous les titres diffusés dans cet épisode ont été choisis par Mrik. Crédit photo Paul Robein. 
 
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Extraits diffusés dans l’épisode 48 : 
‘Mo Money Mo Problems’ Notorious Big (02:29) et (42:23) 
‘Who is it’ Michael Jackson (10:14) et (18:27) 
‘Love lockdown’ Kanye West (29:24) 
‘Nés sous la même étoile’ IAM (48:26) 
 
Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon 
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J’entre chez Skyrock par la grande porte, studio Planète rap passage obligé, quelques couloirs, quelques disques d’or. C’est l’animateur Mrik qui me fait visiter et c’est lui aussi que je cuisine dans cet épisode, le 49e. Mrik est animateur sur skyrock sur la tranche 16h/20h depuis 2013, une tranche horaire écoutée par plus d’un million de personnes en audiences cumulées. Sa passion pour la radio il l’a découverte très très jeune. A 8 ans au culot, il commence à faire des chroniques à l’antenne de CRTV au Cameroun, pays dans lequel il a vécu quelques unes de ses très jeunes années. On ne l’a plus jamais arrêté ensuite. De radios associatives à web radios puis à l’antenne nationale, bourreau de travail, il a brillé si fort que skyrock n’a pas pu passer à côté. Il a interviewé les plus grands artistes : Kendrick Lamar, WilliAm, Eminem, Macklemore, Jorja Smith, et des stars françaises du rap aussi. Aujourd’hui il cumule non seulement les audiences mais aussi les activités : il a aussi sa propre chaîne youtube et son programme One Shot dans lequel il interviewe des artistes. Il a aussi un podcast «&nbsp;Vertical Urban&nbsp;» et une vie très active. Mrik me livre ses tips pour se faire connaître, pour interviewer des stars. Il raconte comment la radio lui a permis de remédier à sa grande timidité, et parle de son envie d’être aujourd’hui dans la position du passeur en faisant profiter les autres de son expérience. Tous les titres diffusés dans cet épisode ont été choisis par Mrik. Crédit photo Paul Robein. 
 
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‘Mo Money Mo Problems’ Notorious Big (02:29) et (42:23) 
‘Who is it’ Michael Jackson (10:14) et (18:27) 
‘Love lockdown’ Kanye West (29:24) 
‘Nés sous la même étoile’ IAM (48:26) 
 
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Episode 49 - MRIK, animateur du 16h/20h sur Skyrock

Onlike, c'est le podcast qui part à la rencontre des personnalités du monde de la Musique pour les écouter s'exprimer sur leur univers, leur processus de création, leurs coups de cœur. 

Le podcast est disponible sur l'ensemble des applications. Si vous l'écoutez sur Apple Podcasts, n'hésitez pas à mettre des étoiles et à laisser un commentaire. Et discutez avec nous sur Instagram, Twitter et Facebook : @onlike
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Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon
Production : Alexandra Lebrethon et Jean-Patrick Labouyrie

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