18. La Vie devant soi, un roman de Romain Gary pour rire et pleurer

La plus grande claque littéraire de ma vie, un bijou d'émotion et d'humour noir paru en 1975. Son auteur avait mystérieusement refusé le prix Goncourt pour ce roman...

Ravie de vous retrouver pour ce 18e épisode, dans lequel je vous parle :

• Côté lecture : du roman La Vie devant soi, pour lequel un certain Émile Ajar aurait refusé le Prix Goncourt en 1975. Dans une langue à la fois ultra-candide, semi-désespérée et imbibée de l’humour le plus noir, le petit Momo nous raconte son enfance à Belleville chez Mme Rosa, une ancienne prostituée juive qui fait pension pour les enfants de ses collègues plus jeunes. Un récit qui fait sans cesse rire et pleurer, porté par un style inimitable... Qui donne envie de se jeter sur une feuille de papier pour essayer quand même de l’imiter !
• Côté écriture : je vous confierai la période de découragement que j’ai connue cet été, qui met à l’épreuve ma motivation à publier des romans, et de ce que j’essaye de mettre en place pour y remédier.

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Enfin, vous pouvez retrouver toutes les références mentionnées dans cet épisode sur le blog de La Page Sensible.

À très bientôt,

Marion